Nathalie et Dominique PLESSIS reçoivent l'exposition des oeuvres de Christian RONCERAY du 26 février au 1er mai prochain, à la cidrerie traditionnelle du Perche.
Christian RONCERAY est né en 1959 dans la Manche.
Après des études de littérature, il s’installe dans l’Orne et commence à peindre en 1986.
Il vit et travaille au Bourg St Léonard (61).
Il réalise de nombreuses expositions individuelles :
Courseulles sur Mer (1994), Caen (1996-2002), Helsinki et Prague (1997), Argentan (1998), Touque (1999), Combourg (2001), Vienne (Autriche) (2002), Alençon (2003), Sées (2004), Gacé (2007), Bavent et Agon Coutainville (2008), Le Mont St Michel (2009), Verneuil sur Avre (1999 et 2010).
Il participe à de nombreuses expositions collectives et salons régionaux et nationaux. (Salon Comparaison 2008 au Grand Palais)
Il expose en permanence : Galerie Le Radar à Bayeux (14), Usine Utopik à Tessy sur Vire (50)
Atelier au Bourg St Léonard (61).
Bibliographie : « Nature Art Today » Editions Eric Patou 2010 « Arts visuels & Paysages » d’Yves Le Gall. Ed. Scérén 2010 « Le Perche des Arts » d’Homayoun Minoui – Reflect-Edition 2009 « Comparaison 2008 » (catalogue) « Artistes contemporains de Basse-Normandie » 1945-2005 Conseil Général du Calvados. Direction des Archives Départementales « Les plus belles enveloppes illustrées de 1750 à nos jours » t.2 de P.S. Proust. Ed. Terre des Arts 2004 « Portraits d’Artistes en Basse-Normandie » de Jacques Blondel . Ed. Malherbes Caen 1997
Contact :
Atelier : 3 rue des Riettes 61310 Le Bourg St Léonard. Ouvert au public sur RDV. Tél : 02 33 39 22 65
Site : www.christian-ronceray.com
Pour le contacter, cliquez ici.
UNE OEUVRE EN PERPETUELLE EVOLUTION
Au cours des vingt dernières années, plusieurs cycles vont voir le jour :
It-in-errances (1992) Des formations humaines (1993) Terres primitives (1994-1995) Recueillement-contemplation (1996-1997) Vies silencieuses (1998-2002) Paysages-Apparitions et autres voyages (2002-2004) Lambeaux de nature (2005-2006) Paysages-Mémoire (2007-2010)
Après avoir traité de l’être humain, des maisons, des livres et de l’écriture, ce sont désormais des paysages qui apparaissent dans mes tableaux.
A l’origine, des dessins préparatoires vont orienter le travail sur la vieille toile. Les brûlures du pyrographe vont petit à petit transformer l’espace et créer un univers. Chaque tableau en entraîne un autre qui est luiŔmême maillon d’une chaîne et tout cela doit avoir sa propre nécessité ou alors disparaître. Ne garder que l’essentiel et essayer de toucher l’émotion originelle : là est toute la difficulté et ce qui fait qu’il faut sans cesse continuer à travailler à ce qui fait l’oeuvre d’une vie et la vie d’une oeuvre.
Aucune référence au présent et à notre monde contemporain dans mes tableaux. L’art, me semble-t-il, doit nous parler d’autres choses : l’invisible, l’impalpable, l’intemporel.